Début de l'orage [Pv Luka]

Je suis un nenfant

Ca faisait maintenant une semaine, que l'attaque au temple s'était déroulée et Gally n'avait toujours pas trouvé la moindre trace de son frère où que ce soit. Je n’avais pas forcement dans l’idée de l’aider à chercher puis je m’en fou moi qu’il soit mort ou pas dieux. En plus j’avais du me retapé le temple après leurs passage, franchement refaire le toit le ménage les bougies de la déesse inutile et incapable de faire un kidnapping discrètement.

-T’aurais au moins put attendre qu’on ne soit pas tous la déesse inutile.

En plus, elle était de sorti ma Gally, elle ne donnait pas vraiment de nouvelle, je crois qu’elle fait la tronche mais je ne regrette pas, je suis content et très fière de se que j’ai fais. J’aurais voulu empêcher son frère d’être enlever mais bon, comment je pouvais prévoir que la passive boguerais ses grosses miches pour une fois dans sa vie.

Et voilà en plus que l’orage se lève, non mais j’te jure, qu’es ce qu’elle fou dehors, si au moins elle me prévenait, je lui demande pas la mort juste un signe de vie, j’arrive même pas a me concentré sur mon bouquin avec la pluie et le vent qu’il y a dehors. Gally ramène toi, je te veux pas dehors par se temps.

-Si il lui arrive quoi que se soit je te jure que je fais le tour de tes maisons pour faire « coucou » à tes vampires …

Tiens, quand on parle du loup, voilà Gally qui rentre, trempée, au moins elle est un en seul morceau c’est déjà sa, Bien sur, elle me fou de l’eau partout alors que je poursuis ma lecture sans un mot, c’est malin, elle m’inonde l’appart et se balade en petite robe devant moi, serais ce son moyen de me punir, pourtant je n’ais rien fait que je n’avais déjà fais devant elle.

-bonjour a toi aussi rayon de soleil, bien détrompe toi, j’ai été me chercher un autre livre le premier manquait d’intérêt

Comme si j’allais plié devant toi chérie, faut pas trop pousser l’expérience, en plus tu sous entend que tu m’en veux mais si vraiment c’est le cas libre a toi de me le dire clairement, c’est pas en tournant autour du pot que sa ira mieux.

-Je te préviens c’est pas moi qui vais ramasser l’eau que tu as mis partout.

J’évitais de fermé mon bouquin, sa m’éviterais le regard noir et surement aussi la dispute, appelons sa la flemme de faire ce que j’ai à faire.

Profite je lee redirais plus >.<

Une semaine sans desserré les dents mis a part pour se plaindre, en plus on dormait maintenant chacun de son coté a un bout du lit et que chaque fois que j’essayais d’aller vers elle je me faisais recalé. C’est pas faut j’avais fait effondré un toit sur son frère mais c’est monsieur qui m’avais lancé la vanne avant de salir mon temple et de mal parlé, ce n’est pas comme si j’avais quoi que se soi à me reprocher. En plus ce n’est pas moi qui l’ais emmener mais Nyx, qu’es ce que j’y peu moi si la déesse inutile agit seulement quand y a pas de raison. Une longue semaine sans contact physique et presque pas verbal…

-Bah si je bouge aussi pour faire a manger, me laver et faire le temple.

Je sais pas pourquoi mais la voir partir comme sa ne me disais rien de bon, je la suivais tranquillement m’adossant a la porte en l’observant faire son sac que je vidais a mesure qu’elle le remplissait renvoyant au placard les vêtements qu’elle y mettait. De mieux en mieux, elle me quitte sans même un mot, non mais oh c’est fini oui, si t’es pas parti quand moi je l’aurais voulu, quand j’ai tout fait pour, qu’es ce qui t’autorise à le faire maintenant que tu as vraiment besoin de moi.

-C’est malin …

Franchement, tu ne veux pas que j’en veuille à ton frère alors que tu viens de dire que tu souhaiterais être partie loin de moi pour être près de lui… J’aime pas devoir me faire pardonner mais la je peu pas faire autrement, je sais que tu as besoin de moi et si je ne le fais pas tu vas finir par partir et … je n’ai pas envie que tu partes.

-Tu peu pas partir, pour deux simples raisons.

Je rattrapais le poignet de ma belle la serrant dans mes bras, je sais sa parait encore narcissique et sa allait pas vraiment s’arranger avec la première phrase mais la suite devrais … lui faire comprendre que je ne plaisante pas cette fois.

-La première, même si je suis un con pas fini et capricieux autant que narcissique, tu m’aimes

Réaction au combien prévisible mais je glissai mes lèvres près de son oreille pour lui murmuré les mots que je ne lui avais jamais dis qu’une seule fois.

-Et la deuxième c’est que je t’aime moi aussi, plus que tout au monde et si pour un sourire je devais retourner la totalité de cette planète et défié une déesse inutile, je n’hésiterais pas une seule seconde.

C’est marrant, j’aurais presque préféré qu’elle ne s’interrompe pas, sa fais bizarre de dire des trucs comme sa, je n’en ais jamais dis qu’a ma femme, je n’avais pas envie de les dire. C’est vrai j’aime Gally mais j’ai cette impression de la trompé qui reste présente. Je ne dis a personne se que je pense et même si cette fois j’avais été sincère, je détestais sa, je ne voulais pas dire sa a quelqu’un d’autre …

En plus, si je finissais par le lui dire plus souvent, je sais que comme chaque fois que j’ai aimé sa va mal se terminer et j’aime bien trop Gally pour que ses mots porte malheur ne quitte encore mes lèvres.

Oula, pas le temps de profité plus, voilà que Gally s’écroule dans mes bras, heureusement qu’elle est tout près de moi, je passe les bras sous ses jambes et la soulève comme une princesse pour l’installer sur le lit. Après bien sur avoir viré le sac gêneur, je l’installe sagement et viens voler ses lèvres glacé comme le reste de son corps.

-Ca va aller ma princesse.

Je caressais ses bras pour la réchauffée avant de m’asseoir l’accroupissant sur moi, je sais qu’elle a besoin de sang et d’avoir chaud, pour le sang s serais vite fais bien fais mais pour avoir chaud après une semaine sans même toucher le satin de sa peau je comptais bien prendre tout mon temps. J’embrassais son coup la serrant contre moi comme une invitation à se servir puisque de toute façon, s’était ce que je lui offrais.

et fin

Elle avait bien vite compris ma Gally que je l’invitais à se servir, de toute façon, ce n’est pas tellement comme si elle avait vraiment le chois, je lui posais pas de question, je lui devançais juste de se servir pour se sentir mieux, je veux qu’elle soit en forme, surtout pour la suite de ce que j’avais prévue pour notre soirée réconciliation.

A la seconde ou elle avait retiré ses crocs et s’était servit, j’avais enchainé avec la séance réchauffement de me douce et tendre. Une matinée entière a profité juste elle et moi de notre union, de ses sons que j’aimais tant entendre quand il quittais ses lèvres, dans le soupir d’une simple caresses, de tous ses mots qu’on pense sans avoir besoin de se le dire, de toute cette tendresse dont j’avais le besoin autant que le désir de la couvrir a chacune des secondes que duraient notre réconciliation, jusqu'à atteindre avec elle la porte des cieux ensemble et de nouveau lié a jamais dans nos étreintes qui plus d’une fois nous menaient au même endroit.

Suite a sa, nous avions bien évidement sombré dans le repos jusqu'à une étrange annonce qui ne laissait rien envisagé de bon, ce genre d’annonce ou on se sent pas concerner même si son nom est cité. Qui répondraient de bon cœur a ce genre d’annonce en même temps.

-Mais non j’ai rien entendu moi.

Ouai, je sais qu’on allait y aller puisque Sadao et Will étaient aussi appeler mais quand même.