Vien la, descente de lit! (Mineurs, passé votre chemin! X-18, yaoi)

Allons, allons Sadao, n’aie pas peur ~ Pourquoi Sirius avait-il l’amusante impression que t’allait lui sauter à la gorge à l’instant même ou il t’aura montré les crocs ?! Au moins, tu était obéissant, à le suivre sans rechigner. Voilà donc que nos deux compère s’éloigne, plutôt sage pour l’instant, et à peine le chaton eut-il le temps de lui demander ce qu’il y avait d’urgent qu’il se sentir poussé par Gal dans leur ancienne demeure.

Déstabilisé et surpris, le loulou fut à deux doigts de trébuché mais se retrouva son équilibre tout de même avant de se faire assommé par tout le blabla de son maitre sans avoir aucune chance de lui coupé la parole. De toute façon il lui aurait pas coupé, ça aurait été signe de défis, du moins, du point de vue loup…

Ils eurent tout de même droit à un sourire de fierté, un bisou, un clin d’œil et un je vous aime avant de redisparaitre, les laissant là, tout les deux, seul… le soyez sage résonna dans tête du loup, se demanda quel limite il devait y mettre. Embêté la descente de lit jusqu’à un certain était-il ? ou fallait-il juste éviter de faire couler le sang ? finalement, il se passa une main dans ses cheveux en soupirant, au moins, pas vraiment besoin de le torturer vu que Gal avait mis les choses au clair.

Se retournant vers Sadao, il l’observa avant de glisser une main dans ses cheveux et lui soulever, à la recherche des cornes perdu :

« quand tu te change toi, c’est pas à moitié, ou sont passer tes petites cornes de bouquetin ? »

Puis lui appuyant sur le torse en riant, il rajouta très amusé :

« même là, tu as tout perdu ! dis donc, on doit bien moins te tourner autour comme ça ~ »

Bon, il avait rien à dire non plus, lui aussi avait beaucoup changé. Finit les bouclettes rousses, les rikiki taches de rousseur et les bourlé…

Je gonflais un instant les joues à sa réponse. Toujours à être un brin trop sérieux, à en rattraper presque El ! Qu’il était énervant à agir comme ça ! Puis quoi, il préféré mes bouclette, mes taches, et mes bourlé ? Ba dommage pour lui, je ne les avais plus et je ne pourrais sans doute plus les rattraper.

Le voilà qui s’étire et s’en va sa vautrer sur se bon vieux canapé. Quoi, je t’embête autant que ça que tu compte t’endormir ? Ça, il est hors de questions que je te laisse faire. Apres autant de temps, ne compte pas que je te laisse tranquille ! C’était si lassant, si ennuyeux quand je n’avais personne à embêter…

« Ca fait du bien d’être chez soit. Tu ne trouve pas Will. »

Hum…oui, c’est sur. Il y avait toujours l’odeur de leurs présences, mais surtout le silence, la tranquillité. Pas de bruit d’oiseau, pas de bruit de vent, pas de bruit de cloche...bref, aucun de ses bruits parrasites qui vous harcèle en dehors, prenant la mélodie d’un leger bourdonnement à force qu’on l’on si habitue. Mes sens étaient apaisé dans ses endroits ou il n’y avait que les trace de leurs passages et pas ceux de tout ce qui vivait aux alentour.

Une chose ne changerait pas non plus apparemment, l’envie d’être au calme du pauvre petit minet ! Toujours sous sa forme hybride, je m’approchai du canapé avant d’en faire le tour :

« J’aime bien ses changement, c’est bien plus a mon gout, mais c’est vraie que cette bonne vieille tanière me manquait. »

S’accoudant au dossier du canapé, je lui offris un sourire, la pointe de mes crocs se fessant légèrement voir. A y réfléchir, j’avais toujours quasiment été sous forme hybride, sauf en présence d’humains et de vampires inconnu. Je préférais cette apparence a celle de loup, beaucoup trop voyante vu la taille, ou celle d’humain beaucoup trop faible et banale à mon gout :

« Toi aussi tu m’as manqué petite descente de lit. C’était…. »

Je glissais un doigt sous son menton pour le gratouiller.

« … si ennuyeux ! »

Et paf, j’appuys de tout mon corps sur le dossier du canapé pour faire basculer le mobilier et ainsi mettre à terre la petite fourrure sur patte. C’était assez sage comme cadeau de bon retour non ?

Ah, ça marchait à tous les coups, les petites gratouilles, que se soient sous le menton, les oreilles ou à la base de sa queue de félin quand il la laissait sortir. Finalement, tu avais toujours les mêmes points faibles Sadao, les même petits points qui te fessaient ronronné…

Petit mouvement content de queue et légère rougeur a son compliment, heureusement camouflé par le vacarme du corps de Sadao qui s’échoue sur le sol. Le souci avec lui c’est que je ne sais jamais si il dit ses choses la pour m’embêter ou parce qu’il le pense et bien sur, a douter, autant parier sur le mauvais côté. Après tout, c’était un tigrou et un vampire, il y avait bien plus de chance qu’il dise ça pour m’ennuyer et pas pour me flatter.

Fichtre, même sous se corps là, il est toujours aussi rapide se matou ! Après un large rire, il m’a sauté dessus sans que je puisse l’éviter au point de m’en faire tomber par terre. Qu’il doit être bien content, là, tranquillement positionné sur mon dos a me mordillé l’oreille ! Je secoue la tête d’un air pas content pour me soustraire à ses crocs même si je dois avouer que j’aime bien ça. Sadao est le seul à être presque aussi animal que moi, le seul à oser jouer plus ou moins à ma manière animal… D’un certain côté, il me fait oublier la sensation de manque d’une véritable meute de loup ou chasse et bagarre sont les activités quotidienne. J’aime Gal, c’est mon maitre, mon alpha, je lui suis et lui serait fidele a vie, mais sa meute et composé surtout de vampire : ce ne sont pas les même jeux, pas les même chasse… et surtout, à l’origine, se sont mes ennemis jurés.

Je me calme un peu quand il me dit que je lui ai manqué. Comme si, de toute façon, on pouvait oublier un gars comme moi ! Secouant les oreilles en m’arrangea pour lui chatouiller le nez, je réponds a sa dernière remarque avec fierté :

« Elle n’est plus très loin, le vent à apporter sa faible odeur la nuit dernière. »

Ba oui, j’étais fière de mon flair ! C’était après tout l’une des rares choses qui me différencier vraiment d’eux. D’ailleurs c’était autant un atout qu’un défaut. Aussi près de Sadao, par exemple, je sentais son odeur, certes, mais aussi celui du dernier sang qu’il avait pu boire et des personnes qu’il avait plus ou moins toucher ses dernières heures. Même en essayant de ne pas s’y intéresser, c’était difficile, chaque odeur étant en elle-même une curiosité. Il sentait tout de même un peu moins qu’avant, le minou, a croire qu’il n’y avait plus autant de petit cul levé qui lui tournait autours.

Grrr ! Un petit grognement sorti de ma gorge quand il m’éternua dessus, mais je l’avais bien cherché non ? Finalement il pose sa tête sur mon épaule, comme un chat tranquille. Parfois, quand ma queue bougeait, je la sentais frôler la sienne mais je n’en disais rien, profitant de cette accalmi en sachant qu’elle ne durerait pas… elle ne dure jamais avec Sadao…

Ba tient, le voilà qu’il me donne un coup de langue dans le cou se qui me fait hérisser les poils, pas de colère mais par simple réaction au frisson qu’il provoque.

« Tu as toujours un bon goût…ça m’a manqué ça aussi »

Et voilà, il se moquait encore de moi ! Grognant plus clairement, je me relevais en l’envoyant rouler sur le sol avant de choper les coussins au sol pour me blottir dessus en lui tournant le dos, ma queue tapant furieusement le sol :

« Grrrrrrrrr, ne me traites pas comme une de tes proies ! »

Non mais ! Cette phrase, il devait sans doute la donné à tous ceux et celles qui finissait sous ses couettes ou abreuvé sa gorge ! En tant que loups, jamais je ne ferrais ni l’un ni l’autre ! M’enfin, à y réfléchir, ça ne changerai pas vraiment de ce que je suis maintenant. L’odeur omniprésente de Gal et des vampires que je croisais sans arrêt suffisait pour déclencher une guerre des que je croisais un autre loup. Mordre d’abord, parler ensuite… sentir autant sur moi des autres races que des loups, s’était suffisant pour m’attaqué, alors que se soit parce que je suis l’un des généraux de mon alpha, un allié des vampires, des tigrou, ou plus, qu’est-ce que ça changerait ?

Sa changerai ma fierté… mon intégrité. J’étais loup, j’en étais fière, j’en étais heureux. D’avoir choisie un alpha différent, je l’assumer avec tout autant de fierté que celle de protéger les membres de cette meute étrange malgré les chamailleries que l’on se fessait en temps de paix. J’étais honoré d’avoir Sadao et El en compagnon même si je leur disais jamais et ne passer mon temps qu’a leur chercher des puces, mais me faire voler mon sang ou mon corps…

C’était terrifiant. Pouvait-on encore être loup après ça ? Pour dire vraie, si Sadao n’avait pas été tigre, (sans rajouter le côté vampire de maintenant), peut-être nos jeux auraient-ils fini autrement, mais ce n’était pas le cas. Il restait un félin, une bête solitaire, sans aucun sens hiérarchique, aux lois et aux mœurs bien trop différentes de ceux de ma race. Se genre de bête récupérait ce qu’elle voulait puis disparaissait… Je ne lui donnerais rien…Il ne partira pas.

Quand il m’attrapa le menton pour me forcer à le regarder, je grognais de nouveau, les oreilles de baissés. Je n’aimais pas être tenu ainsi, sans avoir possibilité de tourner la tête et je n’avais qu’une envie, lui rappeler d’un coup de dent mais je fus tout de même plus ou moins obliger d’écouter ce qu’il avait à dire :

« Je ne traite pas mes proies comme ça…Ne t’imagine pas ça…tu n’en es pas une loin de là tu es trop important pour moi Will…Mais tu n’en fais qu’à ta tête et tu ne le vois pas … »

Enfin il me relâche. Je me frotte légèrement le menton, c’est que même sous se corps, il a une bonne poigne le vieux chat ! Il s’en va près de la cheminer, se calant sur les cousins en secouant sa queue nerveusement. Ba tien, mon petit Sadao, tu pers ton sang froids ?

Ou ne joues-tu qu’à un jeu…

«Tu es chiant quand tu t’y mets même quand on essaye d’être sympa avec toi tu comprends tout de travers…Crois ce que tu veux j’en ai marre »

Grrr, je le déteste, un coup il dit des trucs sympa, un coup non, et après on dit que c’est moi qui ait un problème ? Non mais, il ne s’est pas entendu lui ! Je me recouche en lui tournant le dos, non mais, s’il croit que je vais aller le câliner, il se met le doigt dans l’œil.

Un silence étouffant… je me mets à regretter les bruits parasite tellement celui-ci me rend malade. Je lui jette un coup d’œil. Il est toujours là-bas, coucher. Humph, quel boudeur celui-là ! Mon regard se pose sur sa queue qui remue encore ; finalement, je m’en approche silencieusement, à quatre pattes. Ba sous forme hybride j’aurai pu faire le chemin sur deux mais j’avais la flemme de me lever complètement pour me baisser de nouveau après.

Je me couche dos à dos contre lui, dans le sens inverse pour pouvoir lui choper la queue que je m’amuse à retenir d’une main, la mienne venant lui fouetter légèrement la nuque. Comme si il ma fallait une raison pour venir me caller contre lui, autre que celle de ne plus le faire bouder, je rajouter finalement :

« Tu fait trop de bruit avec ta queue… »

Sa réponse me fit sourire et en le sentant s’amuser avec la mienne, la mordillant au passage, je me mis à la secouer plus vivement. J’avais l’impression de revenir à se moment ou Gal et El partaient en reconnaissance pour échafauder des plans, nous laissant comme deux salles gosses à la maison. Faut dire que Sadao est moi, on était plus du genre exécutif que explicatif… enfin surtout moi. Élaboré des stratégies, des plans des projets, c’était pas mon truc. Tuer, protégé, surveiller, escorter, ça, en revanche, c’était dans mes cordes.

Finalement, ne fessant plus attention à sa queue, je la relâchais en m’en prit un coup dans le nez. J’hésitait alors à la mordre ou la trancher de tout le long comme punition mais quand mon regard se posa sur les fesses du tigrou c’est une autre idée qui me passa a l’esprit. Me léchant les lèvres, c’est finalement la base de sa queue qui se retrouva en cible sous les mordillements de mes crocs.

Si j’avais déjà osé, une fois ou deux, guerre plus, le gratouiller légèrement à cette endroit, je n’y avais guerre toucher plus pour la simple raison que si il y était aussi sensible que les loups, sa promettait un drôle d’effet ! Mais là, s’était bien trop tentant, puis après autant d’absence, il n’allait pas en montrer les crocs, si ?

Whao… ah se point ? Si je m’était attendus a un ronronnement de plaisir pas à se petit rugissement que je ne lui avais jamais entendu ! Sa queue remuer désormais par des mouvements saccadé et ses oreilles s’était baisser tendis que ses joues prenait une teinte rouge. D’abord surpris, je laissais finalement un immense sourire s’étalait sur mon visage, tout ça me donnant que l’envie de recommencer.

« Will »

Oui oui, héhé, s’était bien moi. Je fixais ses yeux quasiment suppliante sentait son odeur changer, prenant un fumet plus attirant, semblable en plusieurs point à celui des louves en chaleur tout en restant pourtant différente. Je ne peut m’empêcher du coup de glisser ma langue sur mes lèvres avant de bondir en le sentant faire de même, joue rougie et le cœur s’étant brusquement emballé à se contact animal.

Le voir ainsi couché, soumis, avec son adorable popotin légèrement levé… que c’était difficile de résister. Je secouer la tête, comme pour viré l’idée malsaine qui avait prit place dedans, mais Sadao, lui ne lâchait pas l’affaire.

« Tu...te rends compte de...ce que tu me fais... »

Oh oui, je m’en rends compte ! Je le voyais, je le sentais et j’en avais même une envie folle d’accentuer cet effet là. Hésitant, je m’approchais finalement, pour lui venir mordiller l’oreille tout en venant le retourner sur le dos et glisser une main sous son haut, murmurant plus pour lui-même plus que pour le tigrou :

« Juste une fois… »

Oui, juste une fois, qu’une seule…

Ses coups de langue sur mon cou et ses léger mordillement n’indiquer qu’une invitation, une porte ouverte pour tout un moment de pure chaleur, celle qui brule l’intérieur même de votre corps sans en laisser aucune trace si ce n’est un muscle plus développer pendant quelques temps. Il vient m’enlacer des bras et de la queue tendis que je quitte son torse pour enfoncer mes griffes dans se haut qui fait barrière entre lui et moi. Doucement, il approche ses lèvre, murmurant mon prénom… pourquoi l’entendre m’appelais me plaisait-il autant ?

Un baiser furtif puis un plus posé sur ses lèvres tendis que la pointes de ms griffes provoquait de larges trou dans le t-shirt mais c’est vraiment qu’au moment ou je lui offrit finalement un vrais baiser, approfondi et langoureux que le tissus vola en lambeau après s’être fait tiré un peu brutalement… un peu trop brutalement même, une griffe s’étant légèrement pris dans la peau du tigrou, laissant une légère plaie au dessus du nombril. J’en senti l’odeur et la recouvrit de la main le temps de terminer se baiser pour pouvoir ensuite lui mordiller la lèvre, puis le cou, l’un de téton et finalement passer un coup de langue pour soigner cette plaie. La salive des loups était réputer pour ses vertu qui accélérait les guérisons et ce ne que quand le sang ne coula plus que j’arrêtais, me léchant les lèvres en fixant attentivement le tigrou.

Je ne sais pas si je devais lui en vouloir pour ça ou l’en aimer d’avantage… secouant la queue – et la sienne du coup – je me redressais finalement pour enlever mon haut –sans le déchirer lui mouhahahaha – puis le laissa tomber à coté. Avec le temps, même ma forme hybride avait évolué. Bien il y avait celle de tout les jours, composé de la queue, les griffes et les oreilles, rien de plus, mais dans ses moment là… Dans se moment là… ses yeux violets étaient devenu verts et brillant de sa forme animal, et une très fine ligne de poils roux et feu partait du coin de l’œil pour suivre les courbe de la joues, du cou, des épaules pour venir se rejoindre dans le dos, dessinant une tresses qui finissait se perdre à la pointe de sa queue.

Je sentais ses doigts se faufiler entre mes poils, suivant leurs chemins en me provoquant un agréable frisson. J’avais l’impression étrange de bruler sous ses caresses, de fondre sous son regard, de me perdre dans son odeur…

Vif, il s’attaqua au trois boutons de mon jeans, les fessant sauter comme des vulgaires pièces de monnaies avant de s’attaquer à ma peau à coup de langue. J’en grognais de plaisir et d’envie, une envie largement visible entre mes jambes. Se fut avec un plaisir encore plus immense que je senti que s’en était de même pour lui, le caressant légèrement avant d’ouvrir le pantalon du tigrou et de lui enlever en même temps que le caleçon pour pouvoir l’avoir entièrement nue à mes yeux.

Je l’observais alors avec attention… qu’il était…à croquer. Je n’avais qu’une envie, celle de planter mes crocs dans n’importe quel partie de son corps, de rester accrocher à lui à en encrer mes griffes dans sa peau, à venir léchouiller se délicieux morceau entre ses jambes, mais surtout à me faufiler entre ses adorables fesses pour ne faire qu’un avec.

Un moment d’hésitation, rapide, furtif. Peut-être n’était-ce qu’une illusion ? Un rêve ? Lui tournant autours, je l’observais alors sous toutes ses formes, comme pour chercher une faille. Non… rien ne semblait irréel, étrange… ma queue fouettant l’air, rassurer et toujours aussi désireux, je m’approchais alors de nouveau avant de le faire rouler bouler un peu sur les coussins, comme pour un jeu alors que s’en était pas un.

Profitant d’un moment où il était ventre à terre, je plaquais mes mains sur son dos, l’empêchant de se relever tout en passant mes crocs sur sa nuque, mon bassin serré à ses fesses. Tient, j’avais perdu mon pantalon et mon caleçon durant le rouler boulé. Idée de Sadao ou juste des vêtements qui n’ont pas supporté le jeu ? Quoi qu’il en soit c’est avec un murmure que je lui déclarer :

« Tu m’appartiens »

Pourquoi avais-je fait ça ? Avec mes conquêtes, se n’était qu’un coup de queue amusant et hophophop et zou, on disparait. Pourquoi avais-je donc fait de se tigrou non pas un jouet mais un amant, lui offrant la parade d’observation, de jeux et de domination qu’on offre généralement à la femelle qui nous appartiendra en cas de perte d’alpha ? A faire ainsi, je déclarer officiellement ma possession sur son corps, sur son âme, sur son cœur…

M’enfin, se n’était pas le moment d’y penser, d’ailleurs, j’y pensais déjà plus, son corps et son odeur prenant bien trop de place pour laisser d’autre pensées s’inscruter. Lui mordillant l’épaule, je venais alors lui caresser les hanches, glissant mon intimité contre la sienne, tendre et patient pour le moment…

Il m’appartenait...oui, c’est ça, de haut en bas, de gauche à droite, intérieur comme extérieur. C’était marrant, ça me provoquer comme une légère décharge électrique le long qui se déplaçait sur tout le long de ma colonne vertébral.

Ses gémissements étaient un doux son à mes oreilles et alors qu’il écartait si gentiment les cuisses, je venais m’insérais en lui. Avait-il eu beaucoup d’amant pendant mon absence, avait-il au moins déjà soumis à un homme, j’en savais rien. Il plaisait, il devait sans doute plaire encore, mais le reste, je ne l’avais jamais surveillé. L’odeur de ses proies sur lui était bien suffisante pour se douter de la suite, sans forcément savoir les détails. Quoi qu’il en soit, il était brulant et sa chair serré, comme pour une première fois, raison pour laquelle je restais doux et léger dans un premier temps, plus chien que loup...

Son rugissement était des plus excitants. Quand il bougea les hanches, enroulant sa queue de chat autours de la mienne, je venais lui mordiller l’oreille, venait glisser plu loin encore en lui avant de rythmé les va et viens de nos deux corps. Je devenais alors quasiment sans aucun sens, ceux-ci n’étant braqué que sur Sadao. Je ne voyais que son corps, je ne sentais que son odeur, je ne gouter que ça peau et n’entendait que ses gémissements.

J’approfondissais le rythme et les mouvements au son de ses gémissements et rugissement grognant de plaisir contre son cou, sa nuque et ses épaules, tantôt mordillée, tantôt embrassé. L’un de mes bras me servait d’appuis tendis que l’autre parcourait des doigts le côté du corps du minou: parfois la cuisse, d’autre fois la hanche ou encor le torse. Fine caresses, puis douces griffures qui ne laissait que des traces, pas de plaie ou du moins pas encore car plus ça continuait plus le désir et l’envie était forte et Sadao avait peu de chance de s’en sortir sans aucune marque.

Le marquer… allons Sadao, comme si j’avais eue l’intention de m’en priver… je ne comptais pas laisser le moindre bout de chair sans un passage de ma peau, de mon odeur, de ma chaleur. Ce n’était pourtant pas assez. Je ne voulais pas que ce qu’il se voyait, je voulais aussi ce qui restait invisible, ce qui était caché sous ses muscles, à l’abri des regards. Mais comment y parvenir ?

J’avais bien mon idée, oui, mais… mais se tigrou en valait-il la peine ? Oui, peut-être… sans doute… surement. Je me redresser, glissant ma langue le long de son dos. Si je ne savais quasiment rien des félins – et faut dire que je ne cherche rien à savoir de ses sales bêtes – ce n’est pas le cas des vampires. Je savais leurs folies à l’odeur et au gout du sang, le plaisir qu’en boire leur procuraient, qu’ainsi ils pouvaient même se retrouvaient marqué d’une étrange façon. Petit minet, m’aimerais-tu d’avantage, apprécierais-tu encore plus se moment si te t’offrait se petit bout de moi, autant pour ton plaisir que pour laisser ma marque même dans ton sang ?

Je t’obligeais à te redresser aussi, un bras t’enlaçant la taille pour se perdre sur se superbe appât entre tes jambes tendis que l’autre remontait le long du torse, caressait ton cou avant de laisser deux doigts s’incruster entre tes lèvres pour entrouvrir tes crocs que je m’amusais à suivre légèrement. Apprécierais-tu ou non mon geste, je n’en savais rien, mais j’espérais que derrière la drôle de façon que j’allais te le faire faire, tu comprendrais l’envie caché.

Furtivement, mon poignet se glissât sous les crocs, remplaçant les doigts et aussi brutalement que si j’achevé un lapin, je plantais les miens dans ton épaules pour t’en faire mordre par reflexe ce bout de corps que je t’offrais en plus du reste… ce bout de sang… ce bout de loup… ce bout de moi.

Aie ! Fichtre, tu ne pouvais pas mordre plus doucement ? Bon, peut-être ne devrais-je pas me plaindre, après tous, c’est moi qui l’ai voulu non ? Je le sentis me lécher le sang avant d’en boire un peu tendis que je continuais de m’occupais de lui, autant par le derrière que par le devant tout en lui mordillant cette fine peau de son cou. Etait-ce le fait de le sentir s’abreuver de moi, cette rapide façon d’imprimer ou encore juste se divin corps à corps… quel fut l’excuse qui me fit sentir ses millier de petites bombes m’éclater dans tout le corps, hérissant chacune de mes poils d’un frisson interminable ? Aucune idée, mais le sentir encore plus resserré, ronronnant comme un énorme matou tigré, c’était fatal, mortel !

En grognant de plaisir contre ses oreilles que je m’étais remis à mâchouiller, j’accentuer le rythme des va-et-vient avant de finalement me vider en un long râle rauque animal ba ouai, que voulez-vous, je suis un loup, une bête, les petit « han » tout mimi et patacouffin, même en le voulant –ce qui n’est pas le cas-, j’y arriverais pas. Je grogne, je râle, c’est comme ça…

Je suis essoufflé… fatigué. Rare que je finisse ainsi d’un corps à corps, mais je ne suis pas étonner, c’est Sadao qui partage se moment avec moi, mon Sadao. Je lui léchouille le dos, puis la nuque avant de m’enlever pour me laisser tomber sur les coussins, sur le flan, un sourire au lèvre.

Peut-être devrions-nous penser à finir sous la douche, à laver après nous, ses coussins trempés de nos sueurs, nos sangs et nos semences… mais non, plus tard. Je voulais rester là, récupéré, dormir, mais surtout graver se bon moment dans ma mémoire et la soudé à mes rêves. Gal, El… toute une armée… n’importe qui aurait pu débarquer que je me serais même pas lever. Enfin, sauf sous ordre de mon alpha, bien sur… quoi que, ne parlons pas de ça… surtout pas…

Quand il s’installa entre mes bras, je l’enlaçais contre moi, profitant de ses léchouille en silence, remuant légèrement la queue. Pauvre queue d’ailleurs, encore obliger de bouger depuis tout se temps… Sadao la fessait travailler à un rythme endiablé ! Et pauvre autre queue qui allait sans doute avoir le même traitement mais d’une belle autre façon…

Sadao… tigrounet, tu te doutais bien de ma réponse à ta déclaration non ? Si pour les humain, il fallait des « je t’aime » pour se déclarer, pour moi, il était déjà là, dans se petit « mon mâle » bien plaisant. Le dire en réponse, ce n’était pas mon genre, à la place j’avais une autre réponse dans ma tête, pas très sympa de point de vue d’un mâle, mais je ne pouvais allez contre mon caractère et cette envie perpétuelle de l’embêter. Prenant un air gaga, moitie parce que oui, j’l’aimais a se point là, moitie parce que c’était amusant, je frotter mon nez contre son cou, puis sa joue avant de lui embrassé le pif :

« Ma toute petite rikiki mimi gentille femelle à deux queues <3 »

Bien sur que nan, se n’était pas une femelle, rien à voir, mais ne m’avait-il pas tendu cette perche ? Puis moi et la déclaration de type blabla-jolis-mots, ce n’est pas mon truc, je préfère agir que parler. De toute façon, avais-tu vraiment besoin que je te dise quelque chose de se genre ? Mon geste ne t’avait-il pas suffit ?